Messages « universels »

17092012

Messages J’ai puisé, dans le dernier discours du CEMA à l’École de guerre ses « conseils » aux officiers stagiaires.

Ils sont, à mon sens universels et particulièrement pertinents dans la période actuelle où l’information et la prise de recul sont plus que jamais nécessaires!

 

 

 

« Je voudrais, pour conclure, vous donner 4 conseils d’ancien, des conseils éprouvés – j’étais à votre place il y a 24 ans.

- 1erconseil : Apprenez à prendre de la hauteur. C’est une aptitude indispensable à l’exercice des responsabilités ! Prendre de la hauteur, c’est savoir se poser des questions, savoir se poser les bonnes questions. C’est s’efforcer d’y apporter des réponses claires, construites et parfois iconoclastes. C’est aussi savoir approcher les problématiques dans leur complexité, savoir dépasser l’approche technicienne, l’approche spécialisée.
- 2e conseil : Apprenez à travailler en réseau. Le travail en réseau, c’est justement ce qui vous permettra d’élargir vos horizons. C’est ce qui vous permettra d’apporter une réponse complète à une question complexe. (…)
- 3e conseil : Prenez le temps de la réflexion personnelle. (…). Ce n’est pas facile parce que l’emploi du temps est chargé. Ce n’est pas facile parce que les sujets sont variés. Ce n’est pas facile parce que l’actualité pousse au zapping, à l’agitation permanente. C’est indispensable pourtant. N’oubliez pas – je me répète – que vous êtes appelés à donner le sens, à donner du sens !
- 4e conseil : Prenez le temps de la lecture. Vous devez apprendre à penser la guerre, dans toutes ses dimensions, ses évolutions comme ses fondamentaux. Fréquentez les bons auteurs, les classiques, les anciens comme les modernes, les penseurs de votre armée d’origine comme ceux des autres armées. (…)

Une dernière recommandation. Je disais en ouverture que l’interarmées était une réalité. Il ne suffit pas de le dire. Cette évidence dictée par le terrain est parfois mise à mal, en particulier lors des périodes d’arbitrage financier. Ces temps de Livre blanc et de LPM réveillent toujours les « guerres des boutons ». Or, ces guerres ne profitent à personne, parce que les « querelles de clochers » sont incompréhensibles de l’extérieur et surtout parce que la division nous affaiblit. Relisez l’histoire romaine : ne soyons pas les Curiace !

L’interarmées est un état d’esprit, un chemin de volonté. Il faut combiner les cultures d’armées – sans les effacer, évidemment –, vaincre les réticences. Ce n’est pas simple : la complémentarité ne se décrète pas, elle se démontre et se démontre encore.

Je compte sur vous pour contribuer à cette perpétuelle démonstration. C’est le seul enjeu et l’objectif premier de l’École de guerre.

Officiers stagiaires de la 20e  promotion de l’École de guerre, vous êtes ici pour préparer votre deuxième partie de carrière, ne négligez pas cette chance ! « L’avenir n’est jamais que du présent à mettre en ordre. Tu n’as pas à le prévoir mais à le permettre », disait Saint-Exupéry. A vous, dès aujourd’hui, de mettre le présent en ordre, de le mettre en ordre pour préparer l’avenir, votre avenir et surtout celui de vos armées ! »

Pour ceux qui voudraient respecter le 4e conseil du CEMA, ils trouveront ici l’intégralité de l’allocution.




Pyramides, cylindres et autres cônes…

13092012

Pyramides, cylindres et autres cônes... dans HUMEURS grandes_pyramides

Puisque nous sommes soumis aux « diktats » de la géométrie, relevons le défi et réfléchissons un peu pour contribuer à l’éclairage de nos technocrates des rives de Seine.

Nous nous sommes livrés à ce petit jeu à l’occasion d’une réunion du bureau de l’Épaulette tenue hier.

Le premier point concerne l’impact structurel sur le solide.

Quand on « dépyramide », on réduit le taux d’encadrement, c’est la signification généralement retenue pour cette opération de RH. Ceci revient à rogner le haut de l’édifice sans trop toucher sa base. La pyramide est toujours là mais aplatie. Parfois on touche même à une face plus qu’à une autre, mais alors la figure devenant bizarre on évite d’en parler.

Le second point, connexe, concerne les effets fonctionnels de cette déconstruction.

Le haut de la pyramide est le plus complexe à édifier, certes il y a moins de pierres mais elles sont plus difficiles à hisser et les pierres d’angle, délicates à façonner (*) sont plus nombreuses. Combien de temps pour former un militaire du rang? Combien pour former un sergent, un lieutenant, un colonel?

Dans nos échanges d’hier, un de nous a rappelé le bon sens de nos camarades Allemands qui ont préparé les succès militaires qu’on a malheureusement connus en 1940 en formant leurs cadres, dans la discrétion et le respect des contraintes d’armistice, deux niveaux au-dessus du grade porté. Ainsi un sergent de la Wehrmacht avait acquis les compétences d’un adjudant, un lieutenant était au minimum capable de faire un bon capitaine… Ils ne s’étaient pas trompés de solide en « cylindrant » leur armée (**).   Le moment venu, ils ont formé rapidement la base manquante, immédiatement bien encadrée par un « repyramidage » express…et on a vu le résultat!

Aujourd’hui, nous sommes engagés dans un processus quasi inverse (dont nous avons pourtant maintes fois constaté les effets, rappelons-nous par exemple la course effrénée aux 3500 sergents par an au début des années 2000 après avoir déjà fait l’expérience du « dépyramidage brutal ») qui nous placerait, si le moment venait, dans une situation délicate.

Toutes ces règles, séduisantes car faisant appel à des images simples ou à des formules couramment utilisées comme l’homothétie, sont perverses et masquent sous l’apparente facilité de leur mise en œuvre l’irréversibilité durable de leurs effets.

Ces opérations technocratiques menées à grands coups d’EXCEL ou autres BUISNESS OBJECT, oublient enfin une cruelle réalité que  rappelait en permanence le général POULET à ses états-majors: « Derrière toutes vos décisions il y a des hommes, des femmes et des familles ».

Et c’est certainement là l’oubli le plus grave quand, par ailleurs, on est amené à exiger beaucoup!

(*) Un camarade de promotion (bien qu’il soit Saint Cyrien je m’autorise cette appellation!) m’a livré cette image en faisant remarquer qu’un outil s’appelait la « Polka »…et qu’on s’apprêtait peut-être à vouloir nous faire danser! Je note qu’un autre s’appelle le « Têtu »…

(**) Pour sourire encore malgré tout…Cette forme générée à partir d’un cercle correspond d’ailleurs mieux  à le représentation visuelle des différentes strates de notre édifice, évite le mauvais esprit sur les faces et leur signification et peut évoluer en cône pour échapper au syndrome de l’armée mexicaine…Mais imaginez l’effet obtenu  si on « décônait » et « recônait » nos armées…!

 

 




Le moment est venu

27082012

Le moment est venu dans REFLEXIONS m%C3%A9l%C3%A9eLa décision de modernisation de notre défense rend exécutoire à compter du 1er juillet 2013 le train de mesures de dissolution, réorganisation ou transfert voulu par le précédent gouvernement (voir billet précédent). Le nouveau pouvoir a déjà diffusé des pistes complémentaires, pour l’instant à l’étude, qui devraient permettre de poursuivre la « rationalisation » en 2013.

Les efforts demandés et reconnus, au moins dans les discours, sont sans précédent depuis plusieurs décennies. Les déclarations faites par  nos chefs d’état-major d’armée ou des armées, montrent qu’une fois de plus des « seuils » sont atteints, qui seront certainement franchis.

Si les objectifs de l’Épaulette concernent en priorité ses adhérents et les catégories qu’ils représentent, ils ne peuvent cependant se concrétiser que dans un cadre général favorable. Quand le cadre semble se fragiliser, c’est le cas aujourd’hui,  nos actions doivent s’infléchir pour servir  l’intérêt général puisqu’il conditionne dès lors les intérêts particuliers.

Le moment semble donc venu de donner priorité aux engagements menés de concert avec les autres structures associatives rassemblant des officiers et des sous-officiers de quelque origine ou position statutaire qu’ils soient. 

Mais ne nous trompons pas de voie.

Nos interventions ne sauraient être politisées ce qui nuirait à notre crédibilité et serait contraire à nos statuts. Pour autant elles doivent être déterminées, au service du commandement et en accord avec notre éthique d’officier.

Nous disposons d’une liberté de ton et « d’interpellation »  certaines, il serait coupable de les laisser sous le boisseau alors que se dessine l’avenir de nos armées et des hommes et femmes qui les servent.

Les moyens de fédérer nos énergies existent. Ainsi, les actions conduites dans le cadre du Comité d’entente qui regroupe plus de 40 associations de militaires ou sympathisants (IHEDN) ont déjà montré leur efficacité sur des sujets mémoriels comme récemment le 11 novembre, devenu journée nationale d’hommage aux morts pour la France. Il est certainement possible de retenir d’autres objectifs en accord avec des priorités que nous dicte l’actualité. L’Épaulette œuvrera à cette inflexion. Elle sait pouvoir compter sur des membres influents de ce cercle pour avancer dans cette direction.

Mais il serait vain de limiter ces engagements à ceux des sièges et bureaux ou conseils d’administration de nos organismes. C’est à chacun, et en particulier pour ce qui nous concerne aux correspondants et présidents de groupement, de développer cette dynamique inter-associative qui, le moment venu, pourra nous donner le poids du nombre pour relayer notre vision de l’esprit de défense, des valeurs qu’il porte et des moyens qui doivent y être associés.

Je vous invite donc à susciter ou rejoindre  toute initiative locale qui viserait à faire émerger des positions communes sur les risques qui se présentent pour notre défense et sur la place qui peut être la nôtre dans une forme d’opposition constructive.




L’esprit militaire

18072012

L'esprit militaire dans HUMEURS honneur-et-patrie2-186x300Un adhérent, qui plus est membre du CA, attire mon attention sur la multiplication des publications et déclarations portant sur l’esprit militaire, comme c’est le cas pour ce texte.

Je vous livre ici son commentaire non dénué d’une certaine perfidie…comme on l’aime bien en règle générale sur ce blog!

“Cet article s’inscrit dans un ensemble d’écrits traitant peu ou prou du même sujet, dont la singularité est qu’ils paraissent dans le même laps de temps: ces semaines-ci.
Ainsi, la revue FANTASSIN consacre un article aux valeurs militaires, de même que ARMÉES D’AUJOURD’HUI et TERRE MAGAZINE.
Le CEMA lui-même dans son message rédigé à l’occasion de la fête nationale, évoque ainsi  » les valeurs communes, celle de l’engagement désintéressé, celle de l’engagement total, celle conduisant parfois jusqu’au sacrifice suprême ».
Outre le fait qu’il est permis de s’interroger sur l’irruption d’un tel thème, traité par tant d’auteurs par le bais de tant de canaux dans une même unité de temps, il reste à espérer que ces valeurs soient pour nous autres militaires une qualité bien réelle, inversement proportionnelle à l’adage populaire concernant la culture, dont on dit que moins on en a…, vous connaissez la suite.”

Sans négliger ces valeurs dont nous sommes porteurs et fiers, il faut bien en rappeler la finalité pour ne pas en dévoyer l’exploitation. Le désintéressement, l’engagement total pouvant aller jusqu’au don de soi, n’ont de sens qu’au service de la France et de ses intérêts vitaux. Il serait maladroit et dangereux de les mettre en avant pour faire passer quelque amère pilule de la vie courante.

Un autre habitué de ce blog avait parlé il y a quelque temps de la « câlinothérapie » à laquelle nous sommes naturellement sensibles du fait d’une fraicheur d’esprit qui nous honore mais ne nous prévient pas assez du cynisme de certains!

Restons totalement désintéressés quand il s’agit du service des grandes causes…mais particulièrement intéressés  par tout ce qui se fait au-delà de ce qui se dit…

Bon « TRIOMPHE » samedi prochain pour nos jeunes officiers, gardiens vigilants de ces belles valeurs.

 




Réflexions au sujet d’Uzbin

25062012

Réflexions au sujet d'Uzbin dans ACTUALITE le-convoi-du-bataillon-francais-au-coeur-de-la-vallee-d-uzbin-300x199

La relance de l’action judiciaire concernant l’embuscade d’Uzbin ravive le débat sur les conditions de l’action militaire et son cadre juridique. Il rejoint celui, également récent, sur la présomption de légitime défense pour les forces de sécurité.

L’ambiguïté est certainement aussi ancienne que l’est l’emploi des armes -au moins dans nos démocraties.

Officier de sécurité à la 13e DMT (division militaire territoriale) -pardon pour les plus jeunes, mais je vous rassure c’était quand même après la seconde Guerre mondiale, en 1988 pour être précis- j’avais participé à une étude sur la protection juridique de la sentinelle qui ouvrirait le feu dans une ZMS. Son cas n’aurait pas été simple malgré le décret qui autorisait la « légitime défense des personnes et des biens ». On considérait à cette époque, et étant donné l’état du droit, que notre soldat irait certainement « au carton »!

Plus près de nous, en septembre 2004, le CDEF publiait le numéro 4 de « Doctrine » intitulé « L’ENVIRONNEMENT JURIDIQUE DES FORCES TERRESTRES« . Ce document complet constitue une lecture de base pour aborder le débat actuel même si des détails du droit ont déjà évolué.

Pour sa part l’Épaulette -où l’on réfléchit parfois!- vous propose ce regard sur le cadre juridique dans lequel évolue le militaire dans les situations de « non guerre »…qui ressemblent pourtant si bien à la guerre! De même, le texte de l’éditorial de la prochaine revue (177), dans sa seconde partie,  éclaire également ce sujet.


Enfin je vous invite à regarder, à défaut de la totalité, l’extrait de la conférence du général Bentégeat (voir ci-dessus en haut de page) au cours de laquelle il s’exprime sur ce sujet entre la 44e et la 52e minute.

Le but n’est pas d’alimenter une controverse mais bien de participer « es qualité » à une réflexion cruciale pour la conduite des opérations et la reconnaissance des conditions exorbitantes du droit commun dans lesquelles agissent  les militaires des Armées et de la Gendarmerie.




Grande force et petites faiblesses

21062012

Grande force et petites faiblesses dans ACTUALITE kaia-300x164J’ai reçu comme beaucoup d’entre vous, il y a une dizaine de jours, un texte attribué à « un soldat français » présent lors du départ de nos 4 camarades tombés en Afghanistan. Il relevait les « bugs » de la cérémonie allant de la sono qui tombe au cercueil qui bloque dans la soute.

Il n’est pas pour moi question de relayer une polémique facile. Les faits rapportés sonnent tellement vrai dans leur description qu’ils sont certainement réels.

Je comprends aussi la réaction de l’auteur troublé dans son recueillement par ces « détails qui tuent », je l’aurais certainement été à sa place. Il conviendra bien sûr de remédier à tout cela… en espérant que nous ne puissions pas vérifier la mise en œuvre de ces mesures correctives!

Je suis par ailleurs sûr, que le rédacteur de ce billet largement répandu n’a pas omis de faire part de ses remarques à ses chefs directs, les plus à même d’intervenir. La manière dont il s’exprime avec clarté et correction lui aura permis sans aucun doute d’être entendu.

Mais je garde aussi, à distance, l’image ci-dessus qui donne l’impression d’une grande force à côté de ces petites faiblesses. Je pense qu’il est dommage, alors qu’on reproche aux journalistes leur manque de dignité, de contribuer indirectement à ternir le souvenir de nos morts sur la place publique.

Ma réaction à cette information, 11 jours après sa parution est née d’une anecdote racontée aujourd’hui par un camarade lors d’une réunion angevine.

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Hommage à nos morts

16062012

Hommage à nos morts dans ACTUALITE 87mortsC’est malheureusement dans ces circonstances difficiles et douloureuses que l’on trouve les mots justes.

Pas les petites phrases qui font le « buzz » et dont on nous rebat les oreilles au fil des jours jusqu’à ce qu’une autre les détrône.

Les mots justes, ceux qui nous entraînent au-delà de nos agitations quotidiennes, ont été prononcés par le Président de la République et Monseigneur Ravel aux Invalides à l’occasion de l’hommage rendu à nos 4 camarades morts et à leurs compagnons afghans.

Si les propos du Président ont été largement reproduits (et c’est tant mieux!), ceux de notre évêque sont restés plus confidentiels. Pourtant ils sont les uns et les autres remarquablement complémentaires puisqu’ils émanent du « prince et du prêtre ».

Alors que le débat sur la judiciarisation des actions militaires se ravive, il est plus que jamais nécessaire de rappeler le sens de notre engagement de soldat. Pour cela il n’est pas inutile d’accepter l’éclairage qu’apporte la profondeur de la réflexion…quand bien même elle provient d’autres dont on ne partage pas nécessairement toutes les convictions.

Non, l’embuscade d’Uzbin n’était pas un carambolage sur l’autoroute!

Non, nos morts pour la France ne sont pas les victimes d’accidents du travail!




Remous local…

10052012

…ou signe annonciateur d’une forte marée?

Un officier supérieur s’étonne qu’un effet domino dans les mutations internes ait conduit certains officiers de son état-major à se voir communiquer leur notation annuelle par un réserviste démotivé (ex active en ESR). La situation qu’il décrit montre que « démotivé » constitue même un euphémisme audacieux!

Un autre exemple troublant  « venu d’ailleurs » touche le volontariat pour les fonctions représentatives de président des officiers et des sous-officiers. Dans les 2 cas rapportés le nombre des volontaires est proche de l’unité, soit moins de 1% de l’effectif de chaque catégorie.

On ne peut que regretter ces deux mauvais symboles tels qu’ils sont décrits -mais peut-être sont-ils le fruit de circonstances particulières qu’il faudrait analyser en détail- car ils traduisent, sous leur forme brute, pour l’un l’affaiblissement d’une fonction « régalienne » du chef militaire et pour l’autre le sentiment d’inutilité ou d’inefficacité de la représentation catégorielle « réglementaire ».

Lorsqu’on rapproche ces exemples d’autres cas comme celui, emblématique en ce qui concerne la contestation de la compétence du chef de corps, de la mise en place d’une cellule harcèlement armée par une psychologue civile hors voie hiérarchique (ouf, ce n’est pas dans notre armée de Terre…pour l’instant !), on comprend l’importance des efforts entrepris par le CEMAT et le DRHAT pour redonner toute leur place aux « RH de commandement ».

Cette dérive, peut-être conjoncturelle et locale, pourrait s’étendre, devenir structurelle et avoir des conséquences lourdes si rien n’était fait pour restituer aux décideurs  militaires  situés à l’interface avec le pouvoir politique une crédibilité qu’on leur rogne de manière insidieuse (et même parfois sans vergogne!) en les privant progressivement des leviers nécessaires à un pilotage de l’action qu’on leur impose par ailleurs.

Ces messages feront partie de ceux  portés par l’Épaulette en direction de la représentation nationale… si les signes de considération donnés en période de campagne électorale (voir un billet récent) trouvent le prolongement attendu maintenant que les choix sont faits.







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