« ACTU DEFENSE » du 15 mai 2015
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15 mai 1917 : Pétain remplace Nivelle. « Le général Pétain remplace Nivelle au commandement en chef des armées françaises. En un mois, l’armée française a perdu 135 000 hommes, 25 000 tués ». LCL Rémy Porte (EMAT/ MGAT).
15 mai 1940 : 1460 soldats français tués ce jour. La 1ére armée repousse l’attaque du XVIème corps blindé allemand à Gembloux (Belgique) et le tient en échec pendant 72 heures. A Stonne (Ardennes), le combat est tout aussi furieux : le village change 19 fois de camps. Des poches vont y résister jusqu’au 25 mai. A la Horgne (Ardennes), ce sont les Spahis qui mettent un coup d’arrêt au général Guderian. Le résultat final de la campagne de France est certes un échec cuisant pour l’armée française et donne souvent l’impression que la combativité de nos forces y a été nulle. Cependant, le taux de pertes de cette période est tout aussi effrayant qu’aux mauvais jours de Verdun (1916) ou de l’offensive du Chemin des Dames (Avril 1917) et la plupart des morts sont comptabilisées au combat et non lors d’une retraite.
15 mai 1941 : l’espion Sorge annonce Barbarossa. L’Allemand Richard Sorge, espion à la solde des Soviétiques et en poste à Tokyo, transmet un message à Moscou révélant que l’invasion de l’URSS par le IIIème Reich doit être déclenchée entre le 20 et le 30 juin. Le renseignement est d’une grande valeur mais Staline n’y croit pas. Le 22 juin, Hitler déclenchera le plan Barbarossa.
15 mai 1943 : naissance du Comité National de la Résistance. Le CNR est constitué sous l’égide de Jean Moulin. Celui-ci parvient après plusieurs réunions secrètes et quelques compromis à déclarer la primauté du politique (de Gaulle) sur l’ensemble des mouvements de la Résistance intérieure.
15 mai 1945 : la France est désignée comme membre permanent au Conseil de sécurité de l’ONU (San Francisco)
15 mai 1958 : de Gaulle sort de son silence. La IVème République vacille sous l’effet de la menace d’un putsch de l’armée française en Algérie à l’occasion d’une manifestation patriotique qui dégénère à Alger (13 mai). Une majorité de pied-noir souhaite le retour de de Gaulle pour enrayer le processus d’indépendance de l’Algérie. Le général Massu prend la présidence du Comité de salut public né de l’insurrection algéroise et en appelle au général de Gaulle, l’exhortant à sortir de son silence. De Gaulle déclare qu’il se tient « prêt à assumer les pouvoirs de la République ». Le président de la République, René Coty, conscient de l’état d’esprit des Français, appelle le 1er juin, « le plus illustre des Français» à former son gouvernement
14 mai 1747 : bataille naval du Cap Finisterre (au large du cap Ortegal – Espagne). Les Anglais (Amiral Anson), très supérieurs en nombre, battent les Français qui escortent 2 convois, l’un à destination du Canada (Chef d’escadre La Jonquière), l’autre de L’Inde (Chevalier Saint Georges). 800 marins français périssent dont La Jonquière. Les Anglais font l’éloge du comportement de leur adversaire. Le convoi pour le Canada réussi à s’esquiver et parviendra à destination.
14 mai 1807 : le sergent Chopot fait honneur au Génie à Dantzig (actuelle Gdansk – Pologne). Le général Lefebvre assiège Dantzig où se sont repliés 20 000 Prussiens et Russes depuis le 19 mars. En repoussant une tentative de sortie, les troupes du génie découvrent une mine en cours d’excavation sous les positions récemment acquises par les assiégeants. Le sergent Chopot fait prisonniers, seul, 12 Prussiens en plein travail de sape.
14 mai 1915 : le général Gouraud commandant du CE des Dardanelles. Le général de division Gouraud succède au général d’Amade et reçoit le commandement du corps expéditionnaire d’Orient (CEO) des Dardanelles. Un mois et demi plus tard (30 juin) il perd un bras suite à l’explosion d’un obus turc alors qu’il inspecte un hôpital de campagne.
14 mai 1917 : bataille d’Otrante (Mer Adriatique). L’amiral Miklos Horthy commande l’attaque du barrage du détroit d’Otrante où Italiens, Britanniques et Français ferment l’accès à la Méditerranée à la marine Austro-hongroise. Horthy inflige de lourdes pertes aux Alliés après un raid audacieux qui lui vaudra d’être nommé commandant des forces navales austro-hongroises. (A noter la conférence de Catherine Horel sur l’Amiral Horthy au SHD le 18 juin 2015).
14 mai 1940 : l’Allemagne déferle
- En Hollande la Luftwaffe bombarde Rotterdam (30 000 civils tués), les parachutistes allemands prennent les aéroports malgré des pertes sévères. La Hollande capitule le jour même.
- En Belgique, la 7ème Panzerdivision de Rommel est à Dinant et franchit la Meuse.
- En France, les Allemands percent à Sedan depuis le 13, grâce aux Pionniers. Leur pont flottant permet au général Guderian de faire franchir ses blindés qui séparent la IIème armée du général Huntziger de la IX de Corap. Côté allemand : décision, rapidité des ordres, des mouvements et belle coordination entre l’appui aérien et l’attaque terrestre. Côté français : la prise de conscience progressive des erreurs et manquements paralyse la chaîne de commandement malgré ici et là des actions de résistance héroïques, vouées à l’échec car non coordonnées.
14 mai 1941 : les aérodromes français de Syrie bombardés par les Britanniques. Une révolution de palais à Bagdad ayant porté au pouvoir un gouvernement pro-allemand, le contrôle des sources d’approvisionnement en pétrole est dangereusement menacé pour les Britanniques. Les putschistes irakiens, le carré d’or, demandent l’aide de l’Allemagne qui est alors engagée dans la campagne des Balkans et qui de plus ne dispose pas de suffisamment d’allonge stratégique. Sollicité par l’Allemagne, Vichy après quelques hésitations accorde le droit d’escale sur ses aérodromes en Syrie. Londres les fait bombarder le 14.
14 mai 1955 : création du pacte de Varsovie. En réponse à l’OTAN (avril 1949) et à l’intégration de la RFA dans l’Alliance Atlantique (oct 1954), les Soviétiques constituent leur propre alliance avec l’Albanie, la Bulgarie, la Hongrie, la RDA, la Roumanie, la Tchécoslovaquie et la Pologne.
ERRATUM pour le 12 mai 1940 : première bataille de chars (d’envergure) de l’histoire. Si cette bataille reste bien l’une des toutes premières de l’Histoire, les rectifications qui suivent ne permettent pas de continuer à y voir une occasion de victoire manquée. Le rapport de force était au global équilibré entre Français et Allemands. La mission du corps de cavalerie était de couvrir l’installation de la 1ère armée sur la ligne Wavre-Gembloux-Namur (40 km en arrière de la ligne Tirlemont-Hannut) et de renseigner sur la situation des Belges sur le canal Albert (50 km plus loin) ce qu’elle n’a pas pu réellement accomplir, les chars français étant victimes de 2 défauts congénitaux majeurs : absence de radio (interdisant coordination entre eux et avec les appuis ) et tourelle à 1 homme (le chef de char est à la fois tireur et chargeur).
Merci au COL Christophe de Lajudie (Ecole d’état-major). L’intégralité des rectifications est en bas de ce mail.
13 mai 1707 : Forbin capture un convoi anglais (Manche). Le chevalier de Forbin (frégate Mars) dans le cadre de la guerre de succession d’Espagne et de la guerre de course qu’il mène avec 8 navires, capture après abordage un convoi marchand anglais (56 transports) et son escorte de 3 vaisseaux filant vers le Portugal. Il sera promu chef d’escadre suite à cette victoire.
13 mai 1915 : tensions franco-britanniques au Hedjaz (actuelle Arabie saoudite). « Rendu inquiet par l’influence acquise au Hedjaz par les Français, le gouvernement britannique considère comme hautement souhaitable le rappel immédiat de la mission militaire française ». LCL Rémy Porte (EMAT/ MGAT).
13 mai 1940 : la trouée de Sedan. La diversion faite par les Allemands en Belgique a fonctionné et leur permet avec le gros de leurs forces blindées et aériennes de faire effort sur la région de Sedan où les Français les attendaient le moins pensant les Ardennes difficilement praticables par les blindés. Dans la soirée du 13 mai, les premiers pionniers allemands franchissent la Meuse.
13 mai 1944 : début de l’attaque du Mont Majo (Italie). Le CEF (corps expéditionnaire français) du général Juin contourne le verrou du Mont Cassin en prenant, de nuit, les crêtes alentour et notamment le Mont Majo alors que les Alliés s’épuisaient depuis des semaines dans des attaques frontales du dispositif allemand. Après 3 jours de combat au total, la route de Rome est ouverte.
13 mai 1958 : le Coup d’Alger . Une manifestation d’anciens combattants a lieu à Alger à la mémoire de trois militaires du contingent faits prisonniers par les fellaghas et fusillés en Tunisie. Le 13 mai 1958 correspond aussi à la date d’investiture à Paris de Pierre Pfimlin que les partisans de l’Algérie française redoutent de voir négocier avec le FLN. Profitant de la manifestation, ils donnent l’assaut au bâtiment du gouvernement général d’Alger sous la conduite de Pierre Lagaillarde et nomment un Comité de salut public. Le général Jacques Massu en prend la présidence. Deux jours plus tard, le général Salan fait acclamer le nom du général de Gaulle.
12 mai 1694 : Duguay-Trouin se rend (au large des iles Sorlingues). Après un combat héroïque, le capitaine Duguay-Trouin, commandant de la frégate Diligente se rend à une escadre anglaise (six vaisseaux du contre-amiral David Mitchel). Il a perdu 230 hommes sur un équipage de 250 marins. Fait prisonnier, il s’évade peu après de Plymouth avec la complicité d’une jolie anglaise qu’il a séduite.
12 mai 1940 : première bataille de chars (d’envergure) de l’histoire (Hannut – Belgique). Le corps de cavalerie commandé par le général français Prioux (239 chars Hotchkis et SOMUA 35) donne un coup d’arrêt puis freine le 16e corps de Panzer du général Hoepner (674 Panzer I, II, III et IV). Cette bataille démontre la supériorité technique du char français sur les chars allemands (I, II et III) et la bonne connaissance des nouvelles tactiques d’utilisation des blindés en campagne par le général Prioux. Ce premier succès ne peut cependant pas être exploité faute de munitions suffisantes, de coordination avec l’infanterie et de l’ordre de replis donné afin d’éviter l’encerclement. L’action des Stukas sur l’artillerie française prive aussi les blindés de précieux appuis.
Les Allemands perdent 164 chars, les Français 105. Il ne manquait au SOMUA 35 que la radio et une autonomie suffisante pour être le char parfait du moment.
7 mai 1915 : Le Lusitania est coulé (Atlantique Nord). Au début de 1915, répondant au blocus imposé par les marines alliées, l’Allemagne déclenche la guerre sous-marine contre les navires de commerce ennemis. Le paquebot britannique Lusitania, en provenance de New York est coulé par l’U 20, près des côtes irlandaises. Sur les 1959 passagers, 1198 disparaissent dans le naufrage, parmi lesquels 128 Américains. Le président américain Wilson prend prétexte du drame pour menacer l’Allemagne et exiger réparation. De neutraliste, l’opinion publique des États-Unis devient peu à peu favorable à l’intervention contre les Puissances centrales, aux côtés de l’Entente. On sait aujourd’hui, après ouverture des archives, que le Lusitania transportait secrètement un important chargement d’armes et munitions.
7 mai 1945 : signature de la capitulation allemande (Reims). À 2h 41 du matin, au lycée professionnel de la ville, le général Alfred Jodl signe pour l’amiral Donitz, qui a succédé à Hitler à la chancellerie du Reich après son suicide le 30 avril, la capitulation sans condition de l’Allemagne. Côté vainqueurs, l’acte de capitulation est signé par le général Walter Bedel-Smith, chef d’état-major du général Eisenhower, commandant suprême des Alliés, et le général soviétique Ivan Sousloparov. Le général français François Sevez, « chef d’état-major » du général de Gaulle, est invité à le contresigner à la fin de la cérémonie en qualité de simple témoin. La cessation des combats est fixée au lendemain 8 mai, à 23h 01 (mais certaines troupes allemandes résisteront au-delà de cette date, notamment dans la place forte de Saint-Nazaire). Staline impose une nouvelle signature à Berlin le lendemain, où la France est représentée par le général de Lattre.
7 mai 1954 : assaut final contre Diên-Biên-Phû et cessez le feu. « Au matin du 7 mai, seuls tiennent encore Eliane 3, 11 et 12 mais leurs heures sont comptées. Vers midi, les chefs de bataillon parachutistes se réunissent autour du colonel Langlais et tous s’accordent à juger irréalisable, en raison de l’épuisement des troupes et face au bouclage hermétique maintenu par le Vietminh, une percée du dispositif adverse. Le déclenchement de l’opération Albatros est donc abandonné pour le secteur central et il est décidé que la garnison d’Isabelle tentera sa chance dans la nuit. Vers 15 heures les régiments vietminh repartent à l’assaut et, en peu de temps, toute la face est du camp retranché tombe aux mains de l’armée populaire. Toute résistance étant désormais devenue impossible, le général de Castries décide, vers 16 heures de cesser les combats dans le secteur central. Il en rend compte à son supérieur lors d’une dernière conversation téléphonique à 17 heures. Informés, les combattants de Diên Biên Phu détruisent leur armement, rendent inutilisables leurs matériels et font sauter leurs stocks. Puis, à 17h30, ce 7 mai 1954, après cinquante-six jours de combats, le silence se fait à Diên Biên Phu. Isabelle, cependant, tient toujours ». CDT Yvan Cadeau (SHD).
6 mai 1527 : mercenaires contre mercenaires (Rome). La garde pontificale suisse protège et exfiltre le Pape Clément VII lors du sac de Rome commis par les Lansquenets du chef de guerre Georg von Frundsberg. Durant les guerres d’Italie qui voient l’affrontement de Charles Quint et François Ier, l’emploi des mercenaires est courant et ce sont les Suisses et les germaniques qui sont les plus prisés. Depuis le 22 janvier 1506, les Papes sont officiellement protégés par une garde suisse (aujourd’hui encore) dont les qualités guerrières et la fidélité sont réputées. Sur les 189 soldats suisses présents lors de l’assaut des Lansquenets, seuls 42 survivent en se retranchant dans le château Saint Ange avec le Pape. Les rois de France en connaissent aussi la valeur et ont créé pour leur protection, dès 1496, une garde permanente nommée les Cent Suisses. Le Maréchal de France Schomberg qui commandera cent ans plus tard cette unité résume l’opinion commune sur ce peuple guerrier : « Les Suisses sont dans une armée ce que les os sont dans le corps humain ».
6 mai 1937 : accident du Hidenburg (New-York). Le dirigeable allemand prend feu à son arrivée sur l’aéroport de Lakehurst. 35 morts sur 97 personnes transportées. La fin du plus gros dirigeable construit à ce jour met aussi un terme à son utilisation commerciale transatlantique.
6 mai 1942 : capitulation américaine à Corregidor (Philippines)
6 mai 1954 : Dien Bien Phu se poursuit. « Les préparatifs d’attaque s’accélèrent. Les tirs d’harcèlements qui commencent vers 16 heures cèdent la place, deux heures plus tard, à une véritable préparation d’artillerie. Vers 20 heures, l’attaque se déclenche et se concentre sur la face est, la division 316 est à l’honneur : le régiment 174 a pour objectif Eliane 2 tandis que le 98 doit s’emparer d’Eliane 4. Toutefois, le régiment 209 de la 312 est également engagé et doit neutraliser Eliane 10 et, sur la face ouest, un régiment de la 308 a pour mission d’occuper Claudine 5, le plus avancé des points d’appui défendant le secteur central. Commencés à la tombée de la nuit, les combats atteignent immédiatement « un caractère d’acharnement particulier », rarement égalé dans la bataille. A 4 heures du matin, Eliane 2 qui a coûté tant de morts aux deux belligérants tombe aux mains des bo doïs. Eliane 4, elle, après avoir résisté toute la nuit bien appuyée par l’artillerie du GONO encore en état de tirer, est finalement submergée en début de matinée, tout comme Eliane 10. Claudine 5 quant à elle, a été évacuée devant la pression ennemie vers 2 heures. Le télégramme envoyé à Hanoï le 7 mai 1954 à 24 heures se passe de commentaires : « situation critique. Munitions 120 pratiquement épuisées. Reste moins de 500 coups. 1 pièce de 105 en état à Isabelle. 7 à Diên Biên Phu ». Malgré tout, 133 hommes sont encore parachutés au cours de la nuit… » CDT Ivan Cadeau (SHD/DREE).
6 mai 1994 : inauguration du tunnel sous la Manche. Elizabeth II et François Mitterrand inaugure le tunnel. L’Angleterre n’est plus tout à fait une ile.
5 mai 1821 : mort de Napoléon Ier (ile Sainte Hélène). A 52 ans et au bout de 6 années d’exil, l’empereur des Français meurt d’un cancer de l’estomac sur une ile britannique perdue dans l’Atlantique Sud. Ses 10 ans de règne sur la France et l’Europe ont profondément marqué l’Histoire. Brillant général d’artillerie, il parvient au pouvoir par un coup d’Etat (9 novembre 1799) après s’être fait remarquer durant les campagnes d’Italie (1796-1797) et d’Egypte (1798-1799). Consul (1799) puis Empereur (1804), il remporte un nombre considérable de batailles contre les Britanniques, les Russes et les Autrichiens, innovant régulièrement dans l’art de la guerre. Les campagnes d’Espagne (1808-1811) et de Russie (1812) sont de trop et affaiblissent l’Empire qui s’effondre et permet le retour du roi (Louis XVIII) durant un an (1814-1845). L’incroyable reprise en main de la France par Napoléon (échappé de l’ile d’Elbe) au cours des Cent jours est très vite contrecarrée par les nations européennes coalisées qui battent la Grande Armée à Waterloo. C’est la fin du I er Empire. Révolutionnaire, Napoléon a pourtant mit fin à la période révolutionnaire qui épuisait la France. Il l’a puissamment réformée la dotant d’une bonne administration, de règles et de lois judicieuses, de nombreuses Institutions encore d’actualité, (Banque de France, corps préfectoral, Sénat, ESM de Saint-Cyr, baccalauréat, …). Bâtisseur mais guerrier, son personnage fascine encore et fait l’objet de nombreux ouvrages. Les qualificatifs abondent pour le définir : de l’usurpateur au génie en passant par le tyran ou l’ogre.
5 mai 1863 : combat de San Pablo del Monte (Mexique).
5 mai 1988 : assaut de la grotte d’Ouvéa (Nouvelle Calédonie). Les négociations ayant échoué, le général Jacques Vidal (Commandant les Forces Armées en Nouvelle-Calédonie) après autorisation du gouvernement, ordonne l’assaut de la grotte. Il est mené par le commando Hubert, le 11ème Choc, le GIGN et 2 lance-flamme du 17ème RGP. Les 16 otages sont libérés. 2 hommes du 11ème Choc meurent au combat pour 19 des ravisseurs retranchés.