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Solidarité ou « vache à lait »?

6122011

vachelait.jpgParmi ses objectifs statutaires, l’Épaulette conserve celui, historique, de la cohésion du corps des officiers. Historique car figurant dans les textes fondateurs de l’association voulue par le général Gandoët.

Cette cohésion repose sur des liens tissés entre les générations d’officiers formés dans nos écoles. Il n’est qu’à participer aux réunions de nos « anciens » pour mesurer la force de ces liens. Liens qui vont au-delà des relations amicales et fraternelles nouées entre eux; liens qui les unissent par l’esprit et dans les faits aux jeunes promotions.

Je ne citerais comme exemple que celui du général Jean DELMAS (IA « Victoire » 1945) qui lors de la dernière AG a remis son prix de l’Épaulette à la promotion « Bigeard » 2011 pour soutenir ses jeunes camarades dans leurs premiers pas.

C’est dans cet esprit que l’Epaulette porte les activités des promotions en école, par solidarité entre officiers. Ce soutien financier significatif -près de 15 000€ l’année dernière avec le Cinquantenaire- n’est assuré que grâce aux cotisations des adhérents qui représentent plus de 95% de nos ressources.

Or de plus en plus, nous répondons à des demandes de »sponsoring » reposant sur une autre logique que celle de  »l’esprit de corps » à la base de l’engagement réciproque que nous privilégions. L’Épaulette n’est pas une « vache à lait » qui s’engraisserait dans je ne sais quelles riches pâtures et distribuerait  des subventions au gré du vent.

L’Épaulette, si vache elle est, est avant tout de race « dolo » (52% des adhérents). Elle est nourrie par son réseau de fidèles, souvent vieilles bêtes de retour, parfois aussi et heureusement jeunes taurillons ou vachettesdans la force de l’âge.

Aussi soyez bien conscients qu’en acceptant aujourd’hui l’aide de vos anciens, cette décision vous oblige. Je revois encore cette inscription portée au fronton de la maison des lieutenants du Génie à Angers: « C’est parmi les jeunes qu’on recrute les vieux« . Eh oui, la « Bigeard » vous êtes déjà les anciens de la 51 qui ne manquera pas d’idées pour ses activités… A vous de rentrer dans ce grand jeu de la solidarité dont l’Épaulette n’est qu’un relais, un amplificateur d’efficacité au profit de ses adhérents…et de ceux qui ne manqueront pas de le devenir!

 




Profil de la 50e promotion de l’EMIA

5122011

statistique1.jpgCertains n’ont pas la chance ou la possibilité de rester « branchés » sur l’actualité de nos écoles.

Pour bien appréhender les situations du  moment il est utile de connaître la réalité de nos promotions IA, OAEA, OSC  ou GEND.

Pour votre information, vous trouverez par le lien ci-contre le profil de la 50e promotion de l’EMIA -   »Bigeard » 2010-2012.




Et par Sainte Barbe…

4122011

barbara.jpg4 décembre…les origines remontent à la surface.

Il n’y a pas que le Téléthon et les miss, il y a aussi les sapeurs, artilleurs et autres « manipulateurs » de feu.

Pas chauvin mais quand même: « Et par Sainte Barbe…vive la sape. »

Sainte Barbe aurait vécu au milieu du IIIe siècle à Héliopolis (aujourd’hui Baalbek au Liban) sous l’empereur Maximien.

Son père, Dioscore, aurait été un riche édile païen descendant de satrapes perses.

Pour protéger sa virginité ou la protéger du prosélytisme chrétien, il l’enferma dans une tour à deux fenêtres. Mais un prêtre chrétien, déguisé en médecin, s’introduisit dans la tour et la baptisa.Au retour d’un voyage de son père, Barbe lui apprit qu’elle avait percé une troisième fenêtre dans le mur de la tour pour représenter la Sainte Trinité et qu’elle était chrétienne. Furieux, le père mit le feu à la tour.Barbe réussit à s’enfuir, mais un berger découvrit sa cachette et avertit son père.Ce dernier la traîna devant le gouverneur romain de la province, qui la condamna au supplice. Comme la jeune fille refusait d’abjurer sa foi, le gouverneur ordonna au père de trancher lui-même la tête de sa fille.

Elle fut d’abord torturée : on lui brûla certaines partie du corps et on lui arracha les seins mais elle refusa toujours d’abjurer sa foi.

Dioscore la décapita mais fut aussitôt châtié par le Ciel : il mourut frappé par la foudre.

Quand les chrétiens vinrent demander le corps de la jeune martyre, ne voulant pas utiliser son prénom perse et ne pouvant pas se dévoiler en utilisant son prénom de baptême chrétien, ils ne purent en parler que comme « la jeune femme barbare », d’où le nom de sainte Barbara qui lui fut donné.

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