AG 2012 en vue
28 10 2011Notre Assemblée générale annuelle aura lieu le samedi 4 février 2012 à l’amphithéâtre FOCH de l’École militaire. L’hommage aux morts sera rendu le même soir à l’Arc de Triomphe en présence d’une délégation d’élèves (ESCC et Melun).
Comme c’est devenu l’habitude depuis 2010, une table ronde constituera le point central de la matinée. Après la « Défense européenne » en 2010 et le « Dialogue interne » en 2011, nous avons retenu pour 2012 le thème général de la « Promotion interne ». Cette année encore nous avons la certitude d’avoir des participants de haut niveau, tant par les fonctions qu’ils occupent que par leur compétence sur le sujet abordé.
Cette étape importante de la vie de l’Épaulette sera précédée par deux rendez-vous qui éclaireront notre approche du thème. Le premier, chronologiquement, devrait être un rendez-vous avec le CEMAT avant la fin d’année (montage en cours). Le second piloté par le siège consistera en une reprise d’une réunion des « consuls » courant janvier -négligée depuis 3 ans- qui réunira des officiers généraux issus de nos rangs (adhérents ou non) à l’occasion d’une séance de travail concluant un court cycle d’étude.
Le siège et le Président sont bien sûr prêts à recueillir vos réactions sur le sujet évoqué afin de nourrir le futur débat.
Les informations de détail sur l’AG figureront dans la revue 175 diffusée début décembre.
Bonjour,
le programme de l’AG2012 est vraiment alléchant.
Comme chaque année, le département de l’Aude sera représenté par son président de groupement.
Une question est en suspend depuis quelques années: la promotion interne au sein de l’Armée de Terre.
Nous en connaissons les outils.
Mais les limites d’âge minimal et maximal telles qu’elles sont pratiquées aujourd’hui ont tendance à fermer la porte de la promotion interne.
A mon avis, l’une des bases de la cohésion de notre Armée de Terre repose sur la diversité des parcours professionnels qu’elle offre. Aussi, il semble préjudiciable de restreindre par trop les conditions d’accès par des limites d’âge trop contraignantes. Les acquis de l’expérience doivent aussi être pris en compte de manière plus valorisante et plus importante.
Le problème est posé pour l’accession aux grades d’officiers. Il se pose aussi pour l’accession aux grades de sous-officiers.
Faut-il, pour autant, faire de ces limites d’âges des questions récurrentes et pour quels enjeux?
Déterminer un projet d’avenir pour l’ensemble de l’institution semble être une priorité autant que les parcours professionnels attractifs et clairement définis.
A bientôt!