Désolé pour les « fidèles » du blog, un « bug » inexpliqué a modifié temporairement l’aspect d’alphacom. Tout et rentré dans l’ordre avec mon retour après 3 journées jalonnées de réunions et contacts parisiens.
Vincennes des associations. Les choses avancent bien grâce à un noyau dur déterminé à faire progresser rapidement les choses, même si au sein du Comité d’entente les réserves de certains (3-4 associations) montrent que le mouvement paraît parfois contre nature! Nouveau rendez-vous avec ceux qui veulent bouger en janvier ou février. Nous rejoindront à cette occasion l’UNC et deux associations de sous-officiers. Cette ouverture est importante, n’oublions pas nos origines et en période de difficulté ne prêtons pas le flanc à la boutade de popote: « Sauvons les élites! ». On peut noter qu’au travers de la participation d’amicales à notre cercle, les militaires du rang peuvent également faire parvenir leurs remarques au « cénacle ».
Cinquantenaire de l’EMIA. Là aussi le projet, après avoir pris corps, se développe de manière rassurante. Le partage des tâches entre l’Epaulette et l’EMIA est clair: à l’EMIA tous les contacts avec les anciennes promotions et les prestataires intervenant à l’occasion des 3 cérémonies (voir programme dans ce blog), à l’Epaulette la charge des démarches en direction des partenaires financiers, à partir d’une liste établie conjointement avec le bureau « Cinquantenaire ». Ce partage vise à professionnaliser l’approche en évitant les sollicitations désordonnées du plus mauvais effet. A ce jour, le bureau de l’Épaulette a voté un participation de 10000€, hier soir le Conseil d’administration des « Amis de Saint-Cyr et de Coëquidan » -dont le président de l’Épaulette est membre de droit- a confirmé son engagement pour la même somme. Bonne journée!
Suite à une question de la promotion « Capitaine Cardonne 75-76″ et à des bruits entendus ça et là, je précise deux points. Je réponds tout d’abord aux bruits, l’Épaulette n’intervient dans le circuit financier que comme relais et « tampon » entre les donateurs et les promotions organisatrices. Donc je rassure ceux qui voient rouge quand ils entendent « Épaulette » (si, si, il y en a!), nous ne nous « mettons pas un centime dans la poche » à cette occasion… au contraire (voir ci-dessus). Concernant l’approche plus positive de la « Cardonne » sur le montant de la participation des anciennes promotions, je constate que le don moyen est à ce jour de 500€, ce qui correspond déjà à un bel effort pour des caisses peu pourvues en ressources et engagées dans d’autres voies de dépense comme l’aide aux camarades en difficulté et à leur famille.
Mais cet engagement est justifié par l’évènement. Merci à ceux qui qui se posent les bonnes questions et font les bons choix sans arrières-pensées mesquines.
« Le directeur des formations d’élèves des Ecoles de Coëtquidan a reçu cet après-midi, du CAB CEMAT, l’information que le GA IRASTORZA présidera bien la cérémonie du Cinquantenaire de l’EMIA qui se déroulera aux Invalides le 14 mai 2011 à 15h30. Par ailleurs, le CAB CEMAT a fait suivre à la Présidence de la République notre demande de Haut patronage pour le Gala. Il reste à chaque promotion et à l’EMIA de mobiliser plus encore tous les officiers issus de notre Ecole afin que cet évènement ait véritablement l’ampleur et le volume attendus. » (LCL BECKER 03/12/2010)
Drapeau et Légion d’honneur. Le Cinquantenaire est aussi l’occasion de tenter de faire -enfin- déboucher le dossier d’attribution de la Légion d’honneur au drapeau de l’EMIA. Là encore, l’Épaulette ne cherche pas à »tirer la couverture à elle ». C’est beaucoup plus simple, nous avons des objectifs statutaires que nous respectons et un réseau que nous mettons au service de nos promotions et de nos adhérents. De plus nous essayons de travailler efficacement et avec une approche professionnelle (voir ci-dessus). Dans ce cas, et en coordination avec l’EMIA et le SHD (service historique de la Défense), nous avons travaillé le dossier avec précision et contacté ou allons contacter »les personnes qui vont bien ». Ainsi demain 3 décembre, le pilote du projet au sein de l’Épaulette reçoit le secrétaire de la Grande Chancellerie pour un ultime point de situation.
Il faut savoir que sur ce sujet, la principale difficulté est de trouver le point de convergence entre une logique historique incontestée et des règles de chancellerie très exigeantes.